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Le mois dernier, l'armée russe a de nouveau utilisé des brouilleurs GPS dans le nord de la Norvège. Les industries de l'aviation et des télécommunications ressentent particulièrement cet impact. Auparavant, un événement d'interférence similaire d'une semaine s'était produit dans la même zone en septembre, et des interférences se sont produites dans la région de la Baltique plus tard ce mois-là, ce qui a perturbé le service de téléphonie cellulaire dans certaines parties de la Lettonie, de la Suède et de la Norvège. Selon les rapports, la Russie a également commencé à détruire et à détruire le système d'armes américain complexe en Syrie.
L'intervention en Syrie, champ de bataille opérationnel actif, est compréhensible, mais pourquoi continuent-elles d'interférer dans le nord de la Norvège?
Les «exercices militaires conventionnels» ont toujours été les contre-mesures officielles de la Russie. Cependant, la pratique de la simulation des brouillages est tout aussi efficace. Des tests en laboratoire, des opérations de terrain plus approfondies en Russie et des opérations sur le terrain en Ukraine et en Syrie garantissent que l'armée russe sait exactement comment fonctionne son équipement de brouillage. Ils n'ont pas besoin de détruire ou de mettre en danger le trafic aérien norvégien et des vies pour assurer la préparation militaire.
Un autre pays qui utilise beaucoup de brouilleur dans l'armée est la Chine.
En décrivant la découverte, un responsable du département américain de la Défense a déclaré: "La Chine a déployé des brouilleurs militaires aux avant-postes des îles Spratly".
Les photos prises par la société de satellites commerciaux DigitalGlobe le mois dernier ont soutenu l'évaluation américaine et les ont fournies au Wall Street Journal. Il montre un système de brouillage suspect, et l'antenne s'étend jusqu'à Mischief Reef. En 2014, c'était l'un des sept affleurements de Nansha, où la Chine a construit de solides îles artificielles, déplacé du sable sur les rochers et les récifs et les a recouverts de béton.
Le ministère chinois de la Défense nationale n'a pas répondu à une demande de commentaire.
Le dernier "Résumé de l'espace aérien dangereux" publié par l'Agence des services de vol a averti les pilotes de la panne à long terme du GPS en Égypte, en Turquie, en Corée du Nord et en Corée du Sud, et aux Philippines. Les futures mises à jour ont également identifié les problèmes de Cypress.
L'Administration maritime américaine a récemment mis à jour son avis concernant les pannes du GPS dans l'est de la Méditerranée et a émis une alerte concernant des problèmes spécifiques à Port-Saïd, en Égypte.
Récemment, les médias ont également rapporté les interférences GPS de l'armée russe en Syrie, en Ukraine, à Moscou, en mer Baltique et en mer Noire, ainsi que les interférences GPS de la Chine dans la mer de Chine méridionale.
La communauté aéronautique en France, au Mexique et dans de nombreuses régions des États-Unis a également signalé des actes de vandalisme.
Les brouilleur d'onde mobiles sont bon marché et facilement disponibles (nous avons identifié 15 magasins en ligne différents), ce qui signifie qu'il y a peu d'endroits en danger sur la planète.
De plus, l'interférence avec les signaux GPS signifie que les aéronefs qui arrivent ne peuvent pas diffuser avec précision leur position au contrôle de la circulation aérienne via le système mondial de reconnaissance de la position des aéronefs ADS-B. Parfois, l'ADS-B aéroporté ne peut pas du tout rapporter la position, et parfois la position qu'il rapporte est très différente de la position réelle de l'aéronef (voir la figure ci-dessous).
Les dégâts étaient si importants qu'en octobre 2016, l'Administration de l'aviation civile des Philippines a publié un NOTAM au personnel de l'armée de l'air, exigeant que tous les équipages de conduite «soient extrêmement prudents». "A l'approche ou à la sortie de l'aéroport de Manille.
Nous pouvons utiliser la base de données NASA Aviation Safety Reporting System (ASRS) et les rapports d'autres endroits pour comprendre l'impact sur les opérations de contrôle des vols et du trafic aérien.
ASRS est une base de données en ligne dans laquelle les professionnels de l'aviation peuvent signaler volontairement les incidents de sécurité et constitue une bonne source principale pour comprendre l'impact des interférences wifi sur les vols commerciaux. Il contient deux rapports sur l'intervention de Manille; l'un de juillet 2016 et l'autre de février 2017 (mais aucun des trois mois couverts par le rapport de l'OACI).

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