J-7 visite aux chevrettes et aux chouettes.
Ou J-18, voilà pourquoi, je suis cuite!
Depuis 2 jours, nous voilà en mode crapahutage pour ouvrir au maximum ce fichu col, avant le 17/08.
De plus, si je peux éviter le déclenchement… Donc : Au boulot ! Qui ne tente rien n’a rien.
Hier, manifestation médiévale dans un domaine, près de chez nous.
Raphaël pas très rassuré de voir des personnes en costumes, évoluées dans le château, comme à la grande époque. Il les a trouvé étranges et a vite voulu rentré dans la voiture. Nous sommes restés maximum 1 heure sur place. Crapaud, heureux de repartir. C’est vrai, quelle idée d’être habillé de manière si rocambolesque, avec cette drôle de façon de parler et d’être complètement indifférent à notre présence, près d’eux. « Ils sont bizarres les gens, maman! »
Aujourd’hui, la famille Bidochon était de sortie.
Nous sommes allés au zoo.
Raphaël a été peste au possible. Il a cherché nos limites, toute la journée. Testant son père au maximum, il a fini par le trouver…
Cris. Non, soyons francs : Hurlements. Pleurs, pétages de plombs mutuels… Cela a fini par un feu d’artifice où nous avons mis, plus de 20 min, à l’attacher, dans son siège auto…
Dans le genre discret, on repassera…
Au final, il a fini par s’endormir dans la voiture. Puis il a terminé sa journée par réfléchir, dans sa chambre, de ses actes.
Quelques raisons ont été posées comme : La venue de Ruben. Monsieur a peur pour sa place de privilégié, dû à sa position d’enfant unique. Depuis quelques semaines, il est en pleine période de régression. Il demande des couches pour dormir, qu’il salit systématiquement. Urine dans son caleçon en journée. Etc…
Il est très dur avec son père, me cachant cette facette. J’ai pu la découvrir aujourd’hui… Je peux comprendre le côté laxiste de ces derniers jours de Fio, pour avoir un minimum de tranquillité. J’ai fait un chameau que j’ai découvert aujourd’hui !
Mais que de changement pour lui, dernièrement : Le changement d’hôpital. La fin de son traitement. Maintenant, l’arrivée de son petit frère et bientôt l’école, à nouveau…
Je peux comprendre qu’il perde pied.
Mais le côté tête de cochon est aussi très encré. « Je me suis fâché car tu m’as mis une fessée… » Dixit le crapaud à son père, lors de ses excuses en bonne et due forme.
Je me suis mordue pour ne pas rire… Il est vrai que mon cher mari avec son mètre 80 et sa carrure peut aller se rhabiller. Il n’est pas aussi stock qu’un cancer que Monsieur crapaud a réussi à massacrer… Donc, papa, fesses moi autant que tu veux, je ne lâcherai rien!
Bourricot!
Au final, si cette journée a eu un effet sur mon col, ce ne sera pas dû à la marche! ;)