Transfert L'après-midi de la ponction se passe bien, je suis allongée, je dors sûrement encore sous le coup de l'anesthésie. Le soir, un mal fou pour me lever, je marche comme un canard en me tenant le ventre. Je ne m'inquiète pas et me dis que c'est normal, on a torturé mon corps quand même. Le lendemain pire encore, je prend du paracétamol et spasfon, j'hésite à appeler l'hôpital pour savoir si c'est normal mais je m'abstiens puisqu'on doit y retourner le lendemain. Coup de fil à 7h, on peut se présenter à 8h30 pour le transfert on a bien des embryons. On se présente au laboratoire où il y a d'autres couples qui sont là pour la même chose. Je constate que je suis la seule à souffrir en marchant et m'inquiète qu'il y ait un souci et que le transfert ne puisse se faire. L'aide soignante voit que je souffre, me demande si on m'avait ausculté avant de me présenter pour le transfert. Ni une ni deux, on m'envoie faire une échographie de contrôle. Verdict : je fais une hyperstimulation légère. J'ai une poche d'eau dans le ventre qui comprime mes ovaires. Comme elle n'est pas trop importante, le transfert peut avoir lieu mais je vais devoir revenir tous les 2 jours pour vérifier que ça ne s'aggrave pas. En effet un début de grossesse peut accentuer l'hyperstimulation. Et vu les antécédents thrombotique de ma maman, je dois me faire des piqûres pour éviter une phlébite. Je n'avais pas encore fait suffisament d'injections jusque là ... Message déposé le 26.04.2012 à 21:24 - Commentaires (0)
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