Seul fabricant à faire le pari de Windows 10, HP a présenté ce dimanche un flagship sous Windows lors de sa keynote du Mobile World Congress de Barcelone. Un pari audacieux de la part du constructeur, qui cherche à se faire une place sur le segment des mobiles…Drôle d’idée que celle de HP de miser toutes ses cartes sur Windows 10. Le géant américain, qui avait déjà tenté l’aventure mobile avec plusieurs smartphones sous Android, retourne aujourd’hui à ses premiers amours avec l’Elite X3, un flagship sous Windows 10 aux performances tout bonnement impressionnantes.
Avec son écran de 6″ QHD, ses deux grilles de haut-parleurs, son processeur Snapdragon 820, ses 4 Go de RAM et ses 64 Go d’espace de stockage, l’Elite X3 se classe très clairement tout en haut du classement des smartphones les plus puissants du moment. HP, qui n’a pourtant pas l’habitude de lancer des flagships, semble avoir tout fait pour marquer le coup. Le constructeur va jusqu’à doter son smartphone d’une batterie de très haute capacité (4150mAh!), de l’USB de type-C réversible et de haut-parleurs signés Bang & Olufsen. Seul le double APN de 16 et 8 mégapixels semble à priori ne pas être à la hauteur selon la presse spécialisée, qui a pu essayer ce modèle lors de la présentation d’HP.
Plus intéressant, l’Elite x3 est compatible avec la technologie Continuum. HP va même beaucoup plus loin en commercialisant un clavier et un écran supplémentaires, ressemblant à s’y méprendre à un ordinateur portable, qui n’est en réalité qu’une coquille vide pouvant être alimentée par le smartphone… HP va d’ailleurs encore plus loin que Microsoft en promettant l’accès à un catalogue d’applications virtualisées pour les professionnels, qui pourront donc utiliser le smartphone comme un véritable ordinateur capable de faire tourner des logiciels classiques!Pour l’heure, pas de prix ni de date de lancement, mais l’Elite X3 est à priori attendu pour l’été prochain à un tarif qui devrait se situer largement au-delà de la barre des 600€…
La police néerlandaise a affirmé mercredi pouvoir décrypter des messages sur les smartphones Blackberry PGP, qui se targuent pourtant d’être un des moyens de communication les plus sécurisés et sont notamment prisés des criminels.Une porte-parole de l’institut forensique néerlandais (NFI) a confirmé mercredi à l’AFP l’authenticité de rapports partiellement publiés en décembre par un blog néerlandais spécialisé dans l’«actualité criminelle» et faisant état du décryptage.«Nous pouvons confirmer que ces rapports sont bien du NFI», a-t-elle déclaré, ajoutant que la technique de décryptage avait déjà été utilisée plusieurs fois par le passé.Selon le blog «Misdaadnieuws.com», le NFI a trouvé le moyen de décrypter les Blackberry faisant usage du programme de chiffrement PGP (Pretty Good Privacy). Même les courriels effacés pourraient être récupérés «en grande partie».
L’imprimante baptisée “Portable Onboard Printer 3D” a été conçue et fabriquée par Altran en coopération avec Thales Alenia Space et l’Institut italien de technologie (IIT).L’expérience, qui a duré près d’une heure, consistait en une séance automatisée de production de petits objets en plastique, qui seront renvoyés sur terre afin d’être comparés avec des objets géométriquement identiques, a précisé le groupe dans un communiqué.Cette expérience, coordonnée et parrainée par l’Agence spatiale italienne, ouvre la voie à la production d’objets utiles (objets nouveaux ou pièces de rechange) à bord de l’ISS, qui n’aura plus à dépendre uniquement des missions d’approvisionnement depuis la terre. “Les stations spatiales pourront ainsi disposer de capacités de production à la demande”, a-t-il relevé.L’expérience a été menée par Scott Kelly, un astronaute américain qui est parti en mars 2015 pour une mission d’un an dans l’ISS, dont il assure actuellement le commandement, selon Altran.
Les imprimantes 3D permettent de produire à l’identique un objet en superposant des couches de résine ou de plastique pour reconstituer sa forme tridimensionnelle sur la base de données issues d’une image numérique.Il devrait se vendre quelque 30,32 millions de montres connectées en 2015 selon Gartner. L’institut prévoit qu’il s’en écoulera plus du double, soit 66,71 millions en 2017, le cap des 50 millions de ventes par an devant être franchi dès 2016.Les ventes globales d’objets connectés portables (les “Wearable Devices”) devraient progresser de 18,4% en 2016 et de 17,5% l’année suivante pour un total de 322,69 millions d’unités écoulés.Les appareils connectés les plus populaires demeurent les casques Bluetooth, qui devraient se vendre à 116,32 millions d’exemplaires en 2015 avant de voir leurs ventes grimper à 139,23 millions en 2017.
Gartner prévoit également un boom des ventes de casques de réalité virtuel, passant de 140.000 à 6,31 millions d’exemplaires vendus en deux ans.Le géant de l’Internet va effectuer un don de 5,3 millions de dollars à l’association américaine NetHope afin de fournir 25.000 Chromebooks aux réfugiés en Allemagne.L’association NetHope rassemble plusieurs ONG américaines et est l’instigateur du projet « Reconnect ». Son objectif est de réduire la fracture numérique entre pays riches et pays pauvres en équipant mieux les plus démunis. Google est l’un de ses partenaires et entend bien y participer. En effet, le géant du Web vient de faire un don de 5,3 M$ afin de permettre à NetHope de distribuer 25.000 ChromeBooks à diverses ONG allemandes.
Nous voulions aussi faire quelque chose pour participer aux défis à long terme des réfugiés, tels que la nécessité de l’accès à l’information et à l’éducation. Donc, aujourd’hui, nous faisons un don de 5,3 M$ pour soutenir le lancement du projet « Reconnect » confie Jacquelline Fuller, directrice de Google.org Être bien équipé n’est pas la priorité absolue des réfugiés, mais ceux-ci auront tout de même besoin d’être informés et d’apprendre la langue locale pour pouvoir travailler dans leur pays d’accueil et reconstruire leur vie. Ces ordinateurs portables les aideront notamment dans des taches telles que l’apprentissage des langues, le remplissage de formulaires administratifs et le contrôle de l’avancement de leur demande d’asile.Ce qui est problématique pour l’instant, c’est que pour pouvoir utiliser ces ordinateurs portables, les réfugiés devront nécessairement être connecté à internet. Un problème que Google ne prend pas en charge pour le moment.
Avec 688 millions d’internautes au compteur, la Chine est officiellement la nation qui compte le plus d’internautes de la planète, loin devant les Etats-Unis, l’Inde, la Russie ou le Brésil.Non-contente de représenter la plus grande nation au monde, la Chine est également le pays qui compte le plus d’internautes de la planète. Avec près de 700 millions d’internautes, elle serait largement en tête du trafic internet, loin devant la Russie, l’Inde ou les Etats-Unis.Contrairement aux internautes européens, la plupart des internautes chinois se connecteraient en revanche avec un smartphone (90%). Si l’ordinateur de bureau reste populaire (66%), l’ordinateur portable et la tablette ne font guère fureur puisque moins d’un internaute chinois sur quatre se serait connecté à l’Internet avec l’un de ces appareils.Comme le souligne la presse américaine, si ces chiffres peuvent donner le tournis, ils sont néanmoins à relativiser. En effet, 700 millions d’internautes ne représentent “que” la moitié de la population du pays, et s’ils sont nombreux à se connecter au web, les Chinois surfent de manière très différente que les Occidentaux compte tenu des nombreuses restrictions qui existent dans ce pays. Facebook n’y est par exemple accessible que via les VPN, et la vaste majorité des internautes chinois se connectent à des réseaux sociaux méconnus en Europe, comme Weibo.
La dernière innovation de Bosch est une pédale d’accélérateur qui envoie une vibration au pied du conducteur s’il consomme trop de carburant.Si les chiffres de consommation annoncés par les constructeurs et le nombre réel de kilomètres qu’on peut parcourir avec un plein sont parfois si différents, cela n’a rien à voir avec une fraude logicielle. C’est surtout que deux personnes différentes ne conduisent pas exactement de la même manière. Et, selon Bosch, la différence entre un pied poids plume et un pied poids lourd peut expliquer jusqu’à 25% de la consommation d’un véhicule.C’est pourquoi, afin de permettre aux conducteurs de savoir quand il faut appuyer et quand il faut relâcher la pédale pour économiser du carburant, l’industriel allemand a développé une pédale “intelligente”.
“La pédale d’accélérateur active de Bosch permet au conducteur d’économiser du carburant, tout en l’alertant en cas de situation potentiellement dangereuse”, explique Stefan Seiberth, président du département Systèmes Essence de Robert Bosch GmbH.Grâce à une vibration similaire à celle utilisée sur les écrans tactiles des systèmes de navigation pour indiquer au conducteur qu’il a bien enclenché une fonction sans l’obliger à quitter la route des yeux, la pédale active permet de ne pas franchir la frontière entre rapidité et irresponsabilité. “La pédale indique au conducteur l’instant où les courbes optimales de consommation et d’accélération entrent en intersection”, détaille Stefan Seiberth.
De plus, si cette pédale intelligente équipe une voiture intégrant un système d’assistance à la sécurité dernier cri, elle peut alors servir de système d’avertissement précoce, capable d’informer le conducteur de l’imminence d’un virage si la voiture va trop vite. Elle peut aussi alerter le conducteur si, par exemple, il roule du mauvais côté de la chaussée, ou encore en cas de présence d’un obstacle sur la ligne d’horizon. Le tout grâce au vibreur intégré.Il existe bien sûr des techniques de conduite économique ne nécessitant pas ce genre de technologie, mais elles requièrent généralement une formation et demandent du temps avant de se transformer en automatismes. Bosch affirme que sa pédale active est suffisante pour réduire la consommation d’essence et les émissions de CO2 de 7%.
Mieux, dans un véhicule hybride, la pédale pourra indiquer au conducteur le meilleur moment pour relâcher l’accélérateur et rouler ainsi sans assistance du moteur classique à combustion, et elle pourra envoyer une autre vibration d’alerte lorsque le carburant est à nouveau nécessaire. Ainsi, le conducteur sera à même d’appuyer de manière aussi douce et économique que possible sur l’accélérateur pour repasser de l’électrique à l’essence.Forte de son succès avec sa dernière tablette, l’entreprise suggère de nouveaux modèles encore plus onéreux et un coloris supplémentaire pour son stylet.La Surface Pro 4, dont la pénurie des variantes les plus populaires prend à peine fin, et le Surface Book, bientôt disponible en Belgique, sont deux dispositifs particulièrement réussis par Microsoft. C’est pourquoi le géant américain se permet de proposer, à partir d’aujourd’hui, un modèle de la tablette à 2.700 dollars et du portable à 3.200 dollars pièce aux Etats-Unis et au Canada. A ce tarif, l’appareil dispose d’une mémoire morte astronomique d’un téraoctet, d’un processeur Intel Core i7 Skylake supporté par 16 Go de mémoire vive.