Le Blog de Froggy et Tadpole

J+3351

Désiré(e) par mes deux parents,
Aujourd'hui, seule ma maman,
Est heureuse de vous annoncer,
Ma prochaine arrivée.


Mon quotidien
6 semaines
1 mois
Nostalgie
J-15
Un début d'année compliqué
30+3 SA
Dernières nouvelles du 2ème trimestre
Fin du 5ème mois
21-22 Octobre
22 semaines...
Je crois que c'est la bonne
Dernières nouvelles
Et si c'était toi
17 SA
Entrée dans le deuxième trimestre et...
Chose promise....
Toxo, Rubéole....
T 21 et la "bourde" du labo
Impatience!
Livre de grossesse, livre de naissance???
2 Aout...

Les Présentations
Après mon bidon, voici ce qu'il cache...
Et depuis?
Le 30 Juin 2014
Les jours suivant...
Le premier essai s'est révélé être le bon
Le jour où tout a basculé....
Après beaucoup d'hésitation.....(2)
Après beaucoup d'hésitation.....(1)

Mes rendez-vous
1er rdv avec ma sage femme

Les échographies
Dernière rencontre virtuelle
écho de controle
Echo morpho (5ème mois)
Première écho officielle

Les achats
La poussette
Un pas de plus : meuble à langer
Les achats continuent : des utiles aux imprévus
Un début qui laisse présager une suite un peu plus compliquée

Le jour J
Jeudi 26 fevrier -vendredi 27 : fin du travail
Jeudi 26 Fevrier : suite du travail
25 fevrier: début du travail
27 février à 1h14
J-3

Divers
ça passe trop vite!
J-7
Ressenti à 35 SA
Bonne année
Un Noël pas comme les autres
Dur dur
Merci!!!


Jeudi 26 fevrier -vendredi 27 : fin du travail
...Une dizaine de minutes après être sortie de mon bain, le travail prend une autre tournure. Maintenant mes contractions sont accompagnées d un réflexe de "poussée" , une sorte de spasme qui m oblige à m accroupir et à pousser bien que ce ne soit pas encore le moment. Je ne contrôle plus rien, je n arrive pas à aller à l encontre de cette envie de pousser, je me demande meme ce qu il m arrive et panique un peu. Ma mère appelle ma sage femme, qui arrive assez vite (j ai juste eu le temps de picorer un peu pour prendre des forces). Elle m examine, attend une contraction pour voir comment "réagi" mon col ( si je me souviens bien) et à la fin de l examen je sens quelque chose couler. Enfin, je perds les eaux. Je ne sais pas si c est spontané ou si c est ma sage femme qui l a provoqué mais sur le moment je m en fiche. Je n ai pas eu une rupture franche mais plutôt une fissure car je vais perdre du liquide jusqu à l expulsion. D ailleurs ma sage femme était étonnée de la quantité de liquide que j ai perdu et moi un peu gênée d'en mettre partout.
A la suite de cet examen ma sage femme veut me donner de l homéopathie. Elle retourne donc à sa voiture pour revenir quelques minutes plus tard et me dire : " bon je préfère qu on parte à la maternité et te donner l homéopathie une fois là bas". Dans ma tête je saute de joie car enfin le moment tant attendu depuis ces dernières heures est arrivé. Je prends donc mes dernières affaires, vérifie que je n ai rien oublié, dit au revoir à mon père et hop direction la maternité dans la voiture de ma sage femme (avant de monter dans sa voiture j ai quand même demandé à ma mère de prendre un autre champs absorbant qui était normalement destiné à l apprentissage de la propreté du chiot). Pendant le trajet, j ai évidemment des contractions douloureuses mais j arrive à bien les gérer grâce à ma sage femme. Dix minutes plus tard, on arrive à la clinique. Je sors difficilement de la voiture, il pleut, je perds encore du liquide et mouille une bonne partie de mon pantalon. Comme il est 21h, on doit passer par le sas des urgences et arpenter un couloir qui me paraît interminable tellement je peine à marcher et que je souffre. Après de longue minutes, enfin j arrive dans la maternité, ma sage femme me propose de passer aux toilettes avant de rejoindre la salle d accouchement.
Je vais donc aux toilettes, y reste plusieurs minutes (les contractions m empêchant de faire tout mouvement) et me dirige difficilement dans la salle.
Pendant que j étais aux toilettes, ma sage femme a revêtu son habit de lumière (un pyjama hospitalier vert) et commencé à préparer la salle. Elle finit devant moi : elle met le drap qui servira à essuyer ma grenouille et ses habits de naissance sur un radiateur, met un draps sur le lit, m amène un oreiller, rempli les papiers administratifs et fait d autre choses mais je ne me souviens plus quoi exactement. Tout ce que je peux dire c est que cela m a paru assez long mais à ce moment la notion du temps était peut être erronée. Dans le même temps, j enlève mon pantalon trempé, ma sage femme m enfile une culotte filet avec des protections pour absorber le liquide que je perds et elle met meme, en supplément, un draps par terre sous mes pieds car je veux rester debout. Je continue de souffrir, d essayer de gérer la douleur des contractions mais très vite la chaleur de la pièce va me perturber. Je crève de chaud, j ai soif et j ai peur de faire un malaise vagal (j' en fais facilement). A ma grande surprise, ma mère est toujours là près de moi à me soutenir, à me masser le bas du dos à chaque contraction. Je dis à ma grande surprise car jusqu au dernier moment je ne voulais/savais pas si ma mère allait m accompagner en salle d accouchement car pour moi c est un moment intime et surtout je ne voulais pas que ma mère me voit dans cet état là. Avec le recul, je peux dire qu heureusement que ma mère était là car elle m a été d une grande aide.
Le travail continue, les réflexes de poussée et la douleur aussi. Ma sage femme reste à l écart tout en étant présenté. Elle me laisse gérer mon accouchement comme je veux. Quand elle voit que je "perds patience" elle m indique de nouvelles positions ou m encourage pour me redonner confiance. Comme depuis le début seule la position debout m est un peu supportable donc quand ma sage femme veut m examiner je serre les dents car je dois m allonger. Heureusement elle ne m examinera pas beaucoup. Elle me mettra un peu le monitoring au début pour "faire plaisir aux pédiatres" et à la fin pour savoir l avancée de ma grenouille.
Les heures passent et le travail continue mais à ma grande surprise ce n est pas parce qu on est sur la fin du travail que les contractions s intensifient. La douleur est la meme que celle ressentie avant de partir à la maternité. Par contre la fatigue et la chaleur ont plusieurs fois eut raison de mon courage et à plusieurs reprises j ai dit que je n en pouvais plus et que je voulais que ça se termine. A plusieurs reprises j étais meme à la limite de pleurer tellement j en avais marre.
Le travail continue, j ai vraiment l impression que c est moi qui décide du déroulement de mon accouchement car je suis là dans cette salle en train de mettre au monde mon premier enfant avec autour de moi ma sage femme qui intervient le moins possible et ma mère qui me soutient. Je prends conscience que j ai une chance inouïe de vivre cela et d éviter les accouchements types baby boum.
Après environ 2-3h de travail, ma sage femme me propose un ultime bain. Je sais que m y détendre sera difficile mais bon je lui fais entièrement confiance.
Je me glisse dans la baignoire, me tortille de douleur à chaque contraction et réflexe de poussée. A ce moment je me rends compte que des hémorroïdes ont fait leur apparition car je ressens une gêne quand je m assois dans la baignoire. J essaye de trouver une position supportable mais c est difficile. Pour moi je vais rester longtemps dans ce bain mais impossible de dire une durée.
Quand je rejoins ma salle d accouchement (en me baladant dans les couloirs juste enroulée dans un drap) il est aux alentours de 23h30. Je comprends que ma grenouille ne sera pas du 26 fevrier mais du 27. Le travail suit son cours, il est toujours identique: contraction, réflexe de poussée un peu plus forte, douleur, gémissement.... Meme après le bain j ai toujours tres chaud et soif. Peu de temps après, je fais tomber le drap dans lequel j étais enroulée à ma sortie du bain. Me voila donc nue (peut être que j ai juste une culotte filet) me tenant à la barre du lit à chaque contraction pour mieux la gérer et me soutenir dans mon réflexe de poussée. La fatigue est immense, mes jambes me supportent de moins en moins quand je m accroupie si bien qu elles tremblent. Ma sage femme est accroupie près de moi et tient le monitoring. Au fil des minutes, je constate qu elle le tient de plus en plus bas ; ma grenouille doit donc avancer mais elle ne me dit rien, elle me laisse vivre mon accouchement. Mais à un moment elle me dit qu elle veut m examiner pour voir où on en est. Je fais la tête, met du temps à monter sur le lit car je sais que je vais devoir m allonger. Je m allonge, une contraction arrive, je me mets sur le côté et je pousse. J ai mal, ma sage femme me prends une jambe et la pose sur son épaule, j ai de nouveau une contraction et je pousse encore mais je souffre terriblement. J ai mal au dos et j ai l impression qu on m arrache mon ventre de l intérieur. Ma sage femme ne m examinera pas car elle voit tout de suite que ma grenouille est bientôt là. On cherche ensemble la position dans laquelle je suis au mieux pour l expulsion. Après plusieurs tentatives, se sera au bord du lit (les fesses quasi dans le vide à cause des hémorroïdes), les jambes repliées et les mains cramponnées aux barrières du lit. Me voila donc au moment fatidique, c est LE moment. Pendant quelques secondes une angoisse m envahie mais sera très vite dissipée par une contraction et une poussée. Là encore ma sage femme me laisse gérer, elle ne me dit pas quand et comment pousser. Elle m encourage dans la poussée et me soutient dans ma douleur. Ma douleur au dos est bien présente mais la plus insupportable c est celle que je ressens dans le ventre. A chaque contraction, je gémis "oh, aille mon ventre". Heureusement tres vite ma sage femme va me consoler en m indiquant qu on voyait les cheveux de ma grenouille. Elle me proposera un miroir mais sur le coup j ai refusé (je le regrette un peu aujourd'hui). A ce moment, j ai puisé dans mes dernières forces pour pousser encore plus fort. A chaque poussée, elle me dit que c est bien ce que je fais et que ma grenouille sort petit à petit. Ma mère jette un coup d œil et confirme les dires de ma sage femme tout en m encourageant. Je suis assez étonnée de n avoir pas trop mal au passage de ma grenouille. Enfin c est gérable comme douleur pas comme celles de mon ventre. Au bout d un moment, je pousse, la contraction passe et je ne sens rien comme ci que je n étais pas en train d accoucher. Je reste dans ce sentiment étrange jusqu'à ce que ma sage femme m informe que sa tête est dehors. Ma mère regarde et confirme. Moi de mon côté je suis étonnée car je n ai ressenti aucune douleur à son passage (merci l entraînement avec e-pino). Ma sage femme me demande si je veux toucher, je descend donc la main et tombe directement sur sa tête. J en reviens pas c est bien vrai elle est quasiment là.
Un dernier effort pour les épaules : je me souviens que ma sage femme a fait quelque manip qui ont été désagréables et qu au moment de la dernière poussée, à 1h14 j ai vu mon ventre se vider tout en voyant enfin ma grenouille apparaître entre mes jambes. Ma sage femme me la tend, je l attrape tout en sanglotant (aucune larme ne coulera vraiment) et je la pose contre moi.....

Message déposé le 15.03.2015 à 23:32 - Commentaires (4)


Jeudi 26 Fevrier : suite du travail
...après la visite de ma sage femme, j étais dépitée car je pensais réellement que le travail était plus avancé que ca. Mes deux nuits blanches n ont pas arrangé mon état de désespoir. A ce moment je commençais à douter sur ma capacité à supporter des contractions encore plus forte, je commençais à craquer.
Comme j avais besoin de soutien et qu il m était impossible de rester seule chez moi, ma mère a prit sa journée. Elle a été aux petits soins pour moi du début à la fin.
J ai passé une bonne partie de la journée du jeudi 26 à me "balader" chez moi pour supporter au mieux les contractions : assise ou allongée sur le canapé, sur une chaise, debout, en marchant, dans le lit sur le dos ou les côtés, dans un bain....
Je contrôlais de moins en moins mes gémissements, j avais mal et il fallait que j extériorise cette douleur avec des "aille", "ouille", aaaahhhh", "oooohhhhh"....et plus le temps passait et plus mes gémissements devenaient des cris. D ailleurs mon père a eut beaucoup de mal à me voir comme ça. J essayais donc de faire un effort quand il était là où alors de changer de pièce pour lui éviter ça.
Cela faisait déjà plus de 24h, que je gérais le début du travail chez moi avec le soutien de mes proches. J étais fatiguée, dans le doute, j avais peur et je voulais que ça se termine.
Vers 16h, certainement parce que j en pouvais plus de cette douleur, je demande à ma mère d appeler ma sage femme (il m était impossible de lui parler à cause des contractions) car je voulais faire un point sur l avancée du travail. Après que ma mère lui ai décrit mon état, ma sage femme nous donne rdv à son cabinet 1h après. Quand ma mère m annonce qu il faut aller à son cabinet, je suis désespérée. Comment je vais faire pour supporter le trajet en voiture meme si il ne dure que 10min???? Je dis à ma mère "non c est pas possible, je vais faire comment si j ai une contraction dans la voiture????". Ma mère me répond que ma sage femme pense que cela peut me faire du bien de sortir de chez moi et que cela fera passer le temps plus vite : sur le moment j en doute mais de toute façon je n ai pas le choix. Avant de partir, sur les conseils de ma sage femme, je prends un énième bain d où j ai du mal à sortir, ma mère prend mes valises (car à ce moment on pense que je ne vais pas revenir) et m aide pour m habiller car j y arrive pas seule ou plutôt je mettais trop de temps. J essaye tant bien que mal à ne pas ressembler à un sac et je prends le temps de me coiffer et de regarder à quoi je ressemble dans un miroir.
Nous voila donc partie, moi je marche difficilement. Ma mère m aide à descendre les escaliers et me tient le bras pour me soutenir un peu car mes jambes ne supportent pas très bien le reste de mon corps. En voiture, j ai des contractions, je me tortille sur le siège passager tout en indiquant le chemin à ma mère. Bizarrement le trajet me paraît plus long que d habitude 😀. Arrivées au cabinet j ai encore quelques mètres à faire à pied, là encore ma mère m aide à marcher et me soutien les bras au moment des contractions. On avance tout doucement, le chemin me paraît long. C est pendant ce trajet que je commence à réaliser que le travail a bien avancé et que je suis plus proche de la fin que du début.
Ma sage femme m examine ( me confirme que le travail est bien avancé) écoute le cœur de ma grenouille, me masse le bas du dos, me donne de l homéopathie en me disant que soit ça accélère le travail soit ça me donne un moment de répit pour me reposer et...me renvoie chez moi avec des huiles essentielles à mettre dans l eau d un bain!!! Quand je comprends que je ne part pas a la maternité mais que je retourne chez moi pour ENCORE prendre un bain et que l on programme de refaire un point dans deux heures, à l intérieur de moi je bouillonne. Je me demande quand est ce que cela va se finir, quand je vais partir a la maternité???? Je suis énervée, exténuée mais je garde la majorité de cet énervement à l'intérieur de moi.
Je retourne donc chez moi. Le trajet du retour est tout aussi difficile que celui de l aller même si ma mère conduit plus calmement que d habitude. Arrivée chez moi, je ne sais plus quoi faire : prendre un bain qui ne me détendra pas ou essayer d avaler quelque chose pour prendre des forces. Ma mère me demande par quoi je commence, je lui répond assez sèchement que je ne sais pas, j en ai marre. Sans grande conviction, j écoute quand même ma sage femme et je me refais couler un bain avec ses huiles essentielles. Bien évidemment, il ne me détendra pas car la douleur est assez forte et limite supportable.
Mais c est après ce fameux bain que les choses vont s accélérer : l homéopathie ayant fait son effet............
Message déposé le 09.03.2015 à 23:02 - Commentaires (2)


25 fevrier: début du travail
Alors après plus d une semaine, il est temps de raconter le plus beau jour de ma vie. Je me rends compte que j ai du mal à me souvenir de tout le déroulement de ces 48h mais je vais essayer de raconter le principal.

Le 24 au soir en me couchant, ma grenouille bougeait énormément et j avais l impression que cela ne se passait pas comme d habitude. Tellement les mouvements étaient impressionnant, j ai décidé de faire quelques vidéos ne sachant pas que cela serait les dernières (petite larme à l œil). Je m endors avec un sentiment un peu bizarre.
A 2h du matin je suis réveillée par une contraction. Je vais aux toilettes et vois une goutte rosée et ce qui me semble être le bouchon muqueux ( en réalité, je le perdrai réellement un peu plus tard). Sur le moment je panique un peu et vais vois sur internet si c est normal de perdre du sang. Après plusieurs minutes de recherche, cela semble normal mais je ne suis toujours pas rassurée. Dans le même temps je remarque que les contractions reviennent toutes les 10min. Je comprends donc que c est certainement le début du travail et que ma nuit était finie car impossible de me rendormir avec ces contractions. Ces dernières sont différentes de celles que l on peut ressentir pendant la grossesse et sont un peu douloureuses mais franchement gérable.
J ai donc passé le reste de ma nuit à essayer de me reposer entre chaque contraction pour éviter d accumuler trop de fatigue. Je prenais chaque contraction comme elle venait, je la gérais et je ne pensais pas aux suivantes.
A 6h du mat, j ai vraiment pris conscience que la fin était proche et Que l accouchement était imminent car cela faisait plusieurs heures maintenant que j avais des contractions. J en informe mes parents, ils semblent un peu émus et n en reviennent pas.
Vers 8-9h j appelle ma sage femme pour l informer de la situation. Avec ce que je lui décris, elle me dit qu effectivement que le travail se met doucement en place mais que cela ne signifie pas que je vais accoucher dans les heures qui suivent.
J ai passé toute la journée du mercredi à avoir ces contractions toutes les 8-10 ou parfois 3-5 min en suivant les conseils de ma sage femme : prendre des forces en mangeant, en somnolant entre les contractions et prendre des bains pour se détendre.
Au fil de la journée, certaines positions devenaient inconfortables si bien que j ai passé ma nuit du 25 au 26 assise sur ma chaise de bureau les bras et la tête posés sur ma table à langer avec en fond sonore la télé. A ce moment les contractions étaient devenues plus douloureuses mais je les gérais encore. D ailleurs je me souviens que j ai été étonnée de voir que la nuit passait relativement vite malgré le fait que je ne pouvais dormir. Là encore, je pouvais somnoler entre les contractions et prendre un bain me détendais.
Mais vers 4h du matin je commençais à avoir de plus en plus mal. Je décide d appeler ma sage femme qui me donne quelques conseils pour supporter la douleur et me dit de la rappeler vers 6h pour refaire un point. Pendant ces 2h ma mère me rejoint, me fait une bouillotte, se couche à côté de moi et essaye de me soulager comme elle peut et de me faire penser à autre chose pour que je puisse me reposer.
A 6h je rappelle ma sage femme et on décide de se voir vers 7h30 pour faire un examen. L examen dira que mon col est effacé et légèrement ouvert (de tout mon accouchement, ma sage femme ne me dira jamais à combien de doigt mon col est ouvert car elle trouve cela inutile) mais qu il faut encore que je patiente. Me voilà donc encore chez moi à essayer de gérer la douleur des contractions, chose que j ai de plus en plus de mal à faire si bien que je commence à faire du bruit, "gémir" à chaque contraction. En même temps j essaye de trouver une position confortable car, à ce moment, la position allongée ne me convient plus (cela restera comme ça jusqu'à l expulsion).....
Message déposé le 06.03.2015 à 22:53 - Commentaires (2)


27 février à 1h14
Apres 48h de travail sans peridurale ma grenouille, Anaé, a decide de quitter son monde aquatique pour venir nous rejoindre dans le monde terrestre.
Meme si ce fut long et douloureux, le résultat en valait vraiment la peine!!!

Je viendrais vous raconter ces 48h et poster une photo dans les prochains jours
Message déposé le 02.03.2015 à 22:26 - Commentaires (11)


J-3
Cette nuit le travail à commencé mais ce n est pas le "vrai travail" à proprement parlé. Depuis j ai perdu le bouchon muqueux et j ai des contractions douloureuses avec des intervalles de temps irrégulier en fonction de ma position (assise ou debout). Je ne sais pas quand je vais accoucher mais là c est sur la rencontre est proche et j espère que cela ne va pas durer trop longtemps........
Message déposé le 25.02.2015 à 16:10 - Commentaires (9)


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